Atelier public
Les présentations des ateliers des élèves du cycle de formation du Studio de Formation Théâtrale ont fait salle comble ! Merci à vous !
—— NOUS, LES ARTISTES ——
(SOMMES UN ARTICLE DE LUXE POUR LA BOURGEOISIE)…
PIÈCES DE FRANK WEDEKIND
23 ET 24 JUIN 2014 À 19H
AU THÉÂTRE DE BELLEVILLE
94 rue du Faubourg du Temple - 75011 Paris
M° Goncourt L.11 ou Belleville L.11 et L.2
ENTRÉE LIBRE SUR RESERVATION (AUCUNE ENTRÉE NE SERA DÉLIVRÉE SANS RÉSERVATION)
reservation@formation-theatrale.com
01 45 21 95 50
Durée du spectacle // 1h30
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ATELIER DIRIGÉ PAR //
FRÉDÉRIC JESSUA
ASSISTANAT COSTUMES & ACCESSOIRES //
AURORE BOURGOIS
ASSISTANAT DÉCOR //
MILLIE DUYÉ
AVEC LES ÉLÈVES DU CYCLE DE FORMATION NIVEAU 1 //
Franziska (1911)
Franziska 1 / Yasmine Boujjat
Veit Kuntz / Yan Couapel
Franziska 2 / Clémentine Lamothe
Sophie / Carla Rodriguez-Moreno
La Mort et le Diable (1905)
Elfride Von Malchus / Julia Roche
Casti Piani / Aurélien Pawloff
Le Château de Wetterstein (1909)
Léonore 1 / Clémence Ribéreau
Elfie / Anna Wasjbrot
La Domestique / Carla Rodriguez-Moreno
Léonore 2 / Chloé Larrère
Rüdiger / Léonard Bourgeois-Taquet
Un Diable Déchu (1898)
Silvia / Mélanie Charvy
Scholtz / Yann Couapel
Von Keith / Nicolas Thuilliez
Musique (1906)
Clara 1 / Carla Rodriguez-Moreno
Else / Florence Botello
Joseph / Léonard Bourgeois-Taquet
Joseph 2 / Nicolas Thuilliez
Clara 2 / Aurore Bourgois
La Gardienne / Millie Duyé
La Chanteur d’Opéra (1897)
Oskar Gérardo / Etienne Toqué
Hélène Marova / Coline Moser
Le Garçon d’Ascenseur / Léonard Bourgeois-Taquet
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Propos
« Nous avons travaillé sur les pièces courtes de Wedekind ; celles qu’il n’a pas pu, dans la plupart des cas, porter à la scène, parce qu’elles furent censurées. Tout au long de l’atelier, nous avons cherché à traduire scéniquement le paradoxe des personnages et l’ambivalence extrême des situations proposées, où lucidité et passion sont sans cesse mêlées. Il fallait faire face sans détour à la violence que cela suscitait.
Même si chacune des pièces présentées peut prendre, par moment, des allures de comédie « de boulevard » (au sens noble du terme), il s’agit avant tout de véritables brûlots. Sans chercher à orienter ou provoquer la réaction du spectateur, nous sommes entrés directement dans des situations d’affrontement, avec authenticité, intensité et précision.
Enfin, laissant libre cours à l’action sur le plateau, la place est faite aux surprises, aux « accidents », aux renouvellements de parcours… dont le spectateur sera notre premier complice. »