Atelier public
LA MORT DE TINTAGILES
DE MAURICE MAETERLINCK
DIMANCHE 23 JUIN À 21H ET LUNDI 24 JUIN
À 19H
AU THÉÂTRE DE BELLEVILLE
94 rue du Faubourg du Temple - 75011 Paris
M° Goncourt L.11 ou Belleville L.11 et L.2
Durée
1 heure
Réservation
01 45 21 95 50
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MISE EN SCÈNE, SCÉNOGRAPHIE ET LUMIÈRES
GÉRALDINE MARTINEAU
Avec les élèves du cycle de formation niveau 1
Grégoire Badin de Montjoye
Agathe Charnet
Mélanie Charvy
Corentin Clergeau
Marianne Deshayes
Marine Dézert
Juliette Duret
Millie Duye
Doriane Gautreau
Margot Lourdet
Marie Perret
Clémence Ribéreau
Claudia Valencia
Lillah Vial
Passée par la classe libre du Cours Florent, le Conservatoire Nationale d’Art Dramatique de Paris et la Comédie Française, Géraldine Martineau est actrice pour le théâtre et le cinéma, réalisatrice et metteuse en scène. Avec les élèves du 1er cycle du Studio, elle a créé « La Mort de Tintagiles ».
Véritable bijou du symbolisme, cette fable de Maurice Maeterlinck dévoile, à travers le rapport au silence, à la présence et l’absence, à l’inconscient et à l’intuition, les mouvements de l’âme face à la fatalité.« J’ai découvert Maeterlinck il y a dix ans dans un stage dirigé par Stéphane Auvray-Nauroy à la classe libre du cours Florent. J’ai tout de suite eu envie pour ce stage de me replonger dans cette écriture merveilleuse et de donner la chance aux élèves de le travailler. Maeterlinck est un auteur culte mais finalement méconnu, peu travaillé dans les écoles de théâtre et dont les nombreuses pièces n’ont jamais été montées en France.J’ai choisi de travailler sur La Mort de Tintagiles, véritable bijou, sommet du symbolisme à la fable simple qui parle du positionnement et des attitudes de l’âme face à la fatalité.
Cette œuvre nous permettra de travailler des éléments essentiels pour l’acteur, tout d’abord la grande précision du texte (entre autre sa versification et sa ponctuation, de très nombreux points de suspension…) et ensuite le rapport au silence, la présence et l’absence, l’inconscient, l’intuition et peut-être les mouvements de l’âme humaine. »
GÉRALDINE MARTINEAU
Le texte de la pièce est donné dans son intégralité.